"A toutes les étapes de la production et de l’élaboration, le produit doit répondre à des critères minimaux et à des exigences minimales de contrôle qui peuvent être précisées dans des notices techniques, réactualisées périodiquement."
-> exigences minimales : ça nous fait une belle jambe et ça signifie que les autres produits non labelisés n’ont aucune exigence minimale…

"Des tests organoleptiques doivent obligatoirement être réalisés afin de démontrer la qualité gustative du produit candidat au Label."
-> belle couleur, ça sent bon, c’est juteux : c’est parfait, vous pouvez consommer !

"Toute demande tendant à la reconnaissance d’un Label rouge par homologation d’un cahier des charges est déposée, par un groupement de producteurs ou de transformateurs auquel a été reconnue la qualité d’organisme de défense et de gestion, auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO)."

-> donc on demande au producteur de se créer son propre cahier des charges qu’il s’engage à respecter. Whoua ! Ça doit être ultra contraignant, aucun doute !

On peut notamment regretter que cette labelisation n’intègre aucun paramètre sur les pesticides. Même si la BIO n’est pas parfaite, voici un comparatif éclairant :
http://blogetpolitique.typepad.com/fcpemariemarvingt/poulet%20et%20pain%20AB%20et%20LB.pdf
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